L'art nautique portable d'Angela Lago : la liberté de la forme

« On regarde le monde une fois, dans l'enfance. Le reste n'est que mémoire. »

― Louise Glück, Vita Nova

La patience n’a jamais été mon point fort, mais j’ai appris à connaître son pouvoir.
La précipitation vole l'âme d'une pièce. Elle m'éloigne de l'essentiel.

C'est pourquoi je crée lentement - à la main, au toucher - laissant chaque pièce trouver son propre rythme.

Mes bijoux ne sont pas seulement un objet.
C'est un passage. Une présence.
Ça connecte. Ça remue.
Il contient de l’émotion, de la mémoire et quelque chose de la vérité indomptée de la mer.

Dans mon atelier madrilène, refuge marin dans la ville, le temps ralentit.
Chaque pièce est façonnée par mes mains, une par une.
Unique ou en série limitée. Jamais pareil. Jamais bâclé.

Ils portent le temps, le poids et l'essence.
Un rappel de ce qui est réel dans un monde qui passe toujours à toute vitesse.

Lorsque vous en tenez un, vous saurez :
Ce n’est pas seulement quelque chose à porter, c’est quelque chose à ressentir.
Un écho silencieux de votre âme océanique.

Si cela vous parle, c'est que vous le savez déjà :
Certaines choses valent la peine d’attendre.

La conversation continue dans les pièces elles-mêmes

_Angela Lago


Mon chemin maritime…

Je suis né au bord de l'Atlantique, à Vigo, le 16 juillet, jour de Notre-Dame du Mont Carmel, patronne des marins.
Cette date a toujours semblé plus qu'une simple coïncidence. Presque comme un signal.

Depuis l’enfance, j’admire les marins : leur solitude, leur force, leur lien tranquille avec la nature.
Ils incarnaient l’authenticité et la liberté, bien avant que je sache nommer ces valeurs.
Cette force silencieuse m’a profondément façonné.

Mon chemin n’a pas été droit.
J'ai étudié le droit et obtenu un master en propriété intellectuelle.
J'ai exploré le théâtre, la photographie et sélectionné des artistes à travers Just the Sea.

Et puis, les bijoux m’ont trouvé.
C'est devenu un langage naturel pour la mer que je porte en moi – ludique, brut, instinctif. Comme un enfant qui joue.

Quand mon fils est né, j’ai choisi de vivre avec cohérence.
Devenir ce que je voulais transmettre. C'est à ce moment-là que le voyage est devenu conscient, lorsque l'art et l'océan ont enfin fusionné.

Chaque détour m’a amené ici, dans cet endroit calme et intentionnel que j’appelle désormais chez moi.

C'est ici que je crée ma propre mer —
un univers marin façonné par la main , par l'instinct, par la mémoire.
Un reflet de ce que je ressens. Et de ma vision du monde.

Chaque pièce est un pont — entre l’âme et la mer.

Je l'appelle la vie.

Échos dans les médias

Le magazine Nautik de Forbes Espagne a présenté mon travail dans « Llevar el océano en la muñeca » « Llevar el océano en la muñeca » (Portez l'océan à votre poignet).
D'autres voix – Faro de Vigo, La Voz de Galicia, El Español – ont capté le signal.

Forbes Nautik Phare de Vigo La Voz de Galicia L'Espagnol El Correo Gallego Le Luxonomiste

Pour en savoir plus sur le parcours d'Angela, regardez son interview vidéo par Forbes de l'année précédente.